samedi 29 novembre 2008

31_21/11/2005 00:40 - Pérou, vers Arequipa

Pérou– du 5 novembre au 21 novembre 2005.
 
Le Trajet :
Lima – Arequipa – Cañon del Colca – Chivay – Cruz del Condors – Arequipa – Nasca – Ica – Huacachina – Lima
 
Le TOP :
Les condors qui volent au dessus de moi ,les pierres volcaniques de la ville d´Arequipa.
 
Le Flop :
Le Soroche à Chivay, mal de crane, mal de ventre, plus de souffle, etc... tout ça dû à l`altitude.
 
En résumé :
 
De Lima j`ai pris un bus de nui tpour Arequipa. Là j`ai pris un tour avec des touristes Péruviens pour visiter le nañon del Colca et cherher les condors, passé un col à 4800 m visiter des village alentours, vior des Lama Alpaca et Vigognes, en liberté ou presque. Monter jusqu`à 4000 m à pied pour voir des ruines pré-Incas à flan de montagne et attrapper le mal de l´altitude.

Le bus de Lima à Arequipa :

Même de nuit, 13h de route, ça fait beaucoup. A ma gauche à mon réveil soit à environ 5h30, il y a du désert, encore du désert, parfois irrigué et vert jusqu´aux pieds des montagnes proches, parfois gris et sec, voire blanc. Du désert pendant des heures. A ma droite, aussi pendant des heures, on peut voir la mer, ou plus exactement le pacifique, mais mon siège est du coté gauche et les places sont numérotés. Il faut savoir à l`avance quel est le beau coté de la route pour en profiter. J`aurais au moins profiter de mon siège couchette pour dormir et j`aurais vu les vagues de temps à autre.
Bien que la route longe la plage, elle n´est pas droite du tout, ça tourne, beaucoup. Le désert péruvien est fait autant de roches que le sable. Il y a des lacets presque tout le chemin vers Arequipa, même quelques mètres seulement au dessus du niveau de la mer.
A nouveau on peut voir des rizières mais beaucoup plus grandes et entretenues que les premières que j`ai vues. Ce sont de grandes propriétés…
13h de bus, ça tue. Et à 7h du matin la musique est repartie avant le petit déj`et un autre film. J`ai du prendre un comprimé pour le mal des virages et j´ai été engourdie tout le reste de la journée.
 
Le bus d´Arequipa à Cruz del Condors :
J`ai pris un tour guider pour pouvoir voir les environs d´Arequipa, deux jour et une nuit en bus avec plein d`autres touristes.
En sortant de la ville nous traversons le quartier pauvre, les maisons sont faites du matériau le moins cher de la région la pierre de volcan. Il en existe 2 couleurs, la blanche et la rose. C´est ce qui donne cette couleur particulière à la ville et ce cachet tellement différent. Les fils électriques sont couverts de guirlandes de boites de conserves, la guide nous explique que c´est pour éviter qu´on vienne les couper la nuit, le bruit réveille tout le monde et maintient le courrant. Les personnes qui vivent dans ce quartier travaillent à la journée et sont en général payer 10 à 12 sol par jour. C´est vraiment peu.
Autour d´Arequipa se trouvent 3 volcans : Misti, Chachani et Pichu Pichu.
Les vigognes vivent en liberté, et meurent quand on cherche à les domestiquer. C´est entre autre pourquoi un parc national a été créé car c´est une ressource importante de la région et du pérou. Une vigogne peut être tondue une fois par an et donne alors 250 grs de laine. Les autres chameaux péruviens, car je crois qu´ils font partis de la même famille que les chameaux et dromadaires, peuvent aussi n´être tondu qu´une fois par an mais donne plus de laine. Le lama a la tête longues et la queue vers le haut, les alpacas ont la tête ronde et courte et la queue vers le bas. Sur le bord de la route, on peut voir un panneau différent pour les deux sortes de bestioles qui gambadent dans la nature environnante, malheureusement le bus ne s`est arrêté qu`à coté de l`un d´eux.
 
La feuille de coca :
Pour passer un col à 4800m d´altitude, nous avons mâché de la feuille de coca comme le font les locaux, avec un petit peu de cendres qui sert de catalyseur. Il faut en mâcher 10 à 20 feuilles maximum : Ce n´est pas très bon, et ça engourdi la bouche. La guide nous explique que sur les 14 composants de la feuille seul un sert de drogue et que pour avoir le même effet il faudrait mâcher 600 feuilles de coca… je vous défie de mettre tout ça dans votre bouche ! Les locaux disent que mâcher la feuille de coca vous rend plus fort, vous coupe la faim, nettoie vos dents, vous empêche d´avoir le mal des montagnes, vous aide à ne sentir ni la fatigue ou ni la douleur… No comment.
Une fois que vous avez mâcher vos petites feuilles, vous devez les recracher, le mieux étant d´en profiter pour en faire une offrande à la montagne. Au col de 4800 m on peut voir des milliers de petits monticules de pierres qui ont servis à se débarrasser de ces feuilles trop mâchées et faire trois vœux dont un devrait se réaliser. J`ai fait une petite montagne de pierres en pensant « je veux voir les condors », « je veux voir les condors » et « je veux voir les condors ».
 
4800 m, des milliers d´offrandes à la montagne, des touristes par dizaines, des bus qui les attendent, un mirador naturel, des péruviennes proposant de l´artisanat, des toilettes plus que rustiques et un arc en ciel dans le nuages.
 
La route est en reconstruction. Des ouvriers déchargent un tonneau de goudron, d´autre font la sieste en plein soleil dans leur tenu de laine avec cagoule contre les brûlures du goudron. Pour permettre au goudron de sécher mais garder la circulation facile pour les nombreux bus de touristes, ils mettent des pierres sur la partie rénovée pour éviter qu´on y passe, tout en ménageant des plages de dépassements ici et là.
2 jours fatigants avec Soroche, et le réveil à 5h du matin pour voir les condors. Mais on les a vus !
Au retour tout le monde a dormi.
 
Cruz del Condors :
1 h de marche avec rien d´autre que de minuscules insectes au fond du cañon.
Au moment de rentrer dans le bus et repartir, des gamins péruviens se sont mis à courir dans tous les sens en hurlant « CONDORS ! ». Tout le bus s´est revidé et nous sommes partis une heure plus tard. Ravis.
Ils ont volés juste au dessus de nous. Au retour, plus rien n´intéressait que de regarder les photos des condors et dormir.
 
Nazca :
Les lignes
Impressionnant de monter dans un petit coucou, un cesna je crois, et voir tout ça à toute vitesse, mais je crois que j`ai été encore plus impressionné de voir une ligne de près, du sol et d´à peine quelque metres plus haut. Une Aiguille simple mais bien visible grâce à la différence de couleurs des pierres, ici sur le coté, et du sable qui se trouvait en dessous. Les photos ne donnent pas grand chose. Jà i eu la chance de ne pas être malade ce qui ne fut pas le cas d`une jeune belge dans l`avion avec moi, bien qu´elle ai pris son comprimé en même temps que moi...
 
Les aqueducs de 2000 ans
Pas très loin des lignes se trouvent des aqueducs vieux de plus de 2000 ans et qui fonctionnent et servent toujours. L`eau y est limpide mais je n`ai tout de même pas osé la boire.
 
Ica et Huacachina :
Les vignes le long des routes te des maisons de la campagnes.
Les wineries, le pisco et tous les verres que j`ai pu boire
Le musée d`Ica où les plus belles pièces ont été volées le 15 octobre 2004… Ça fout les boules.
Les dunes autour de la lagune de Huacachina
Le buggy fou dans les dunes
Le sand board-luge avec lequel j`ai fait des figures inconus des profs de snow board qui m`accompagnaient, très impresionné qui en redemandait en rigolant bien. J`ai mis deux jours à me débarrassé de totu le sable...
La piscine, la première à laquelle j`ai eu droit au Pérou et qui était bein venue.
 
La Bouffe :
Dans certain resto de Lima, j`ai vu des sangles accrochées aux sièges. Je n`ai d´abord pas compris pourquoi, jusqu´à ce que je vos qu´elles pouvaient s´ouvrir pour accrocher la poignée d`un sac. Il y a beaucoup de vol et ils touchent tout le monde, touristes comme locaux. Les témoignages se multiplient à chaque rencontre. On peut en devenir parano.
 
Les vêtements :
A Lima, il n`y a que peu de personnes portant des vêtements « traditionnels », et ceux que j`ai vu sont parmis les pauvres, voire les seuls à mendier.

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